vendredi 26 novembre 2010

Nous ne dirons jamais assez merci à Georges Rivat et Alain Mathiot ...

L'un pour cette très bonne et fidèle relation de notre voyage en Syrie, accompagnée de ses propres photos en illustration. Ce journal de voyage est augmenté, et c'est vraiment appréciable, par :
- Un bonus photographique très orienté "motos"
- Une carte de  Syrie avec les sites que nous avons visités
- La partition, musique et paroles, de cet inoubliable chant qu'est : "Partant pour la Syrie"
- L'Arbre de l'Islam qui montre bien les différents courants islamiques et qui nous rappelle que ces haines viscérales, ces luttes fratricides, remontent si loin ... qu'il serait vraiment temps de les oublier !
- Une belle page de photos avec toutes les bobines sympathiques de nos gentils organisateurs

L'autre, pour une mise en page soignée de nos propres bobines

Alors, merci à vous deux : nul ne pourra oublier ce voyage même si, comme moi, on a parfois la mémoire qui flanche ....

Album d'Isabelle et Gérard Biette

Biette

vendredi 5 novembre 2010

Ma modestie dut-elle en souffrir ...

Mais je figure sur le "best of" de Philippe Tourneur. Je l'ai loué pour ses talents de photographe et j'allai lui dire que, heureusement, on ne voyait pas trop ma figure sur sa photo ...
 Je m'apprêtai à lui raconter une petit histoire personnelle que cette réflexion m'avait inspirée quand l'idée de vous la conter m'est venue.Peut-être inaugurera-t-elle la série dont je vous ai déjà parlé (clin d'œil).

L'histoire se passe il y a trois ou quatre ans à Paris. C'était l'hiver et il commençait à faire nuit.
Je venais de quitter ma mère et étais en train de traverser la cour de son immeuble vers la grande grille  donnant sur la rue. Tout en marchant, je remarquai une petite vieille qui se dirigeait-elle aussi vers la sortie.
Elle marchait si doucement que je la dépassai et arrivai avant elle. Quand elle fut à proximité, je m'effaçai et lui ouvrit la porte. Fort aimablement elle me gratifia d'un : "Merci beaucoup, Mademoiselle".
ça m'a fait rire et je lui dit que le "mademoiselle", depuis fort longtemps déjà, hélas, n'était plus trop de mise...
Tout en causant on avait franchi la porte et nous nous trouvions dans la rue. La vielle dame décida de m'examiner à la lueur du réverbère ... Impitoyable elle me déclara : " Ah, oui, bien sûr .... Mais c'est parce que je ne vous avais vue que de dos ...

Voilà, ma petite histoire est terminée. A vous.

Album de Philippe Tourneur

Tourneur